|
Les vacances approchaient et je commençais à être tout excité, j’allais rentrer chez moi. Trois jours avant mon départ je reçu un colis et une lettre, sur la lettre il y avait de marqué : « A lire en premier » dans la lettre il y avait écrit :
Mon petit Mikaël,
Pour ces vacances tu ne pourras hélas pas venir, ici nous sommes en train de préparer un gros coup et je ne veux pas que tu y sois mêlé, avec cette lettre tu trouveras ton cadeau de Noël. Je veux que tu saches une chose c’est que je t’aime.
Cornes
PS : n’oublie jamais d’où tu viens.
Et voilà j’allais encore devoir rester ici et seul car Héphylie devait rentrer chez elle, enfin c’est ce que je pensais. Quand elle me vit, elle se rendit vite compte que quelque chose n’allait pas, elle vit la lettre et me la pris des mains et là lut rapidement. Elle me prit dans ses bras en me disant que puisque je ne rentrerais pas chez moi, alors elle non plus elle ne rentrerait pas. Je ne voulais pas qu’elle reste pour moi, mais en allant dans sa chambre je vis qu’aucune de ses affaires étaient prêtes, elle savait qu’elle ne rentrait pas chez elle, mais elle ne voulait pas me le dire, je fit comme si je ne le savais pas. Noël approchait à grand pas et l’école se vidait, on allait enfin être au calme.
Voilà c’était les vacances, l’école était vide, il ne restait que quelques élèves et professeurs, comme d’habitude j’étais toujours avec Héphylie. Le début des vacances fut uniquement consacré à : dormir, manger et rigoler. D’un cote j’étais triste de ne pas avoir pu rentrer à la maison, mais de l’autre j’étais heureux car j’étais avec Héphylie, comme quoi on ne peut pas tout avoir dans la vie.
Le matin du 25, à peine sorti de mon lit que je courais vers mon paquet, je l’ai ouvert rapidement, à l’intérieur il y avait mon casque et une lettre, il y avait juste écrit quelques conseils : Ne te laisse jamais marcher sur les pieds, respecte la vie car qui es-tu pour décider qui doit vivre ou mourir ? , Essai de toujours avoir un plan (j’en ai toujours et ils fonctionnent super bien *sourit*), et après il y en avait d’autres mais moins importants. Au moment ou j’allais rentrer dans la chambre d’Héphylie et lui dire bonjour, on entendit un élève hurler :
- C’est la guerre, on nous attaque !!
J’ai regardé Héphylie et on est parti en courant pour savoir ce qui se passait. Quand nous fûmes arrivés dans la grande salle nous vîmes sur le simsens un journaliste qui étais en train de lire son texte. Quand tout le monde fut enfin assis, on réussi à entendre qu’une guerre c’était déclaré dans les Barrens entre plusieurs gangs rivaux et que pour le moment ce n’était pas grave car ils ne débordaient des Barrens, à phrase j’eu envi de pulvériser le simsens, mais je réussi à me contenir. Cette petite guerre dura deux jours, jusqu’à ce qu’elle se transforme en grosse, elle déborda des Barrens, ce qui fit intervenir la Lone-Star puis les gardes corpos car il y eu quelques balles, grenades, roquettes et bombes qui atterrirent dans les quartiers corpos. Cette nouvelle force fit que la guerre se calma pendant une demi-journée, juste le temps pour les différents chefs de gang de s’allier et de sortir la grosse artillerie. L’enfer se déchaîna sur Seattle, la guerre dura pendant deux semaines, elle stoppa net du jour au lendemain et tout le monde fit comme si rien ne s’était passé. A ce moment je compris que je ne reverrais plus Cornes, il m’avait forcé à partir pour que je ne sois pas mêlé à tout ça. Je décidais d’aller voir le directeur pour vérifier mes dire, je lui ai juste posé une seule question, j’étais inscrit jusqu’à quand et si tous mes droits d’inscriptions avaient étaient payés, il me dit que oui et que j’étais inscrit pour longtemps, il refusa de me dire la date exacte. C’est à ce moment précis que je décidais qu’il fallait que j’étudie pour que Cornes soit fière de moi d’où il se trouve.
Pendant les 5 années qui suivirent tout se passa à peu près bien, hormis quelques bagarres de temps en temps. Les cours devenaient un peu plus difficiles, et je traînais toujours avec Héphylie. La fin d’année approchait et tout le monde se préparait pour la cérémonie de remise des diplômes * en bruit de fond on entendit quelqu’un dire plomes, et cette personne le fit avec le sourire *.
Précèdent Suite
|
|